Amusez-vous à découvrir les 10 panneaux à retrouver dans les rues du village...

A l’époque, on ne parlait pas de Cours Foch ni même de « Cours ». C’était le « Cous » qui deviendra en 1881 le lieu d’implantation de l’école.

La fontaine avait une grande importance pour les Roccasiers, les habitants y puisaient l’eau qui provenait d’une source située dans la colline de la commune.

Autrefois, le marché́ aux cerises de La Roque d’Anthéron était l’un des plus réputés de la région car le village comptait de très nombreux producteurs de cerises.

L’arrivée du chemin de fer à La Roque d’Anthéron en juillet 1889 a favorisé l’installation de nombreux commerces dans le village.

Le Boulevard Adam de Craponne a souvent changé de nom : autrefois rue du Vabre, puis rue de la Gare, puis rue des Alliés, avant d’être baptisée Boulevard Adam de Craponne.

Le 12 mars 1888, à l’ordre du jour d’une réunion extraordinaire du conseil municipal : le projet de création d’une ligne de chemin de fer des Bouches-du-Rhône.

Le 11 novembre 1918, jour de l’armistice, la magnifique cloche avait sonné́ à tout rompre des heures durant et, de fait, fut fêlée.

Vite construit, entre 1598 et 1667, le château est limité à un bâtiment et à deux tours. Ce premier château n’est qu’un simple « pied à terre » pour Jean de Forbin issus d’une famille de la noblesse provençale.

La rue Clémenceau était une des rues les plus commerçantes du village.

Le bâtiment à droite de l’ancienne mairie abritait le « Cercle de la fraternité́ » de 1898 à 1934.